• Améthyste : Pierre de  l’âme,   elle apporte réconfort et calme les émotions.

Elle est d’un grand soutien. Cette pierre vous aide à laisser partir le chagrin, la peur et les inquiétudes afin que la guérison puisse commencer.

L'améthyste, avec ses nuances violettes captivantes, est plus qu'une simple pierre; elle est un havre de paix pour l'âme.

Reconnue depuis l'antiquité comme un puissant allié spirituel, l'améthyste fonctionne comme un pont entre le terrestre et le divin.

 

• Amazonite :

Une pierre apaisante, elle dissipe la tristesse et  la sensation d’oppression.

C’est une  pierre d’apaisement du cœur, idéale pour retrouver son âme d’enfant elle aide à prendre du recul et à relativiser.

 

• Le Lapis-Lazuli est la pierre symbole de la sérénité. Utilisée en lithothérapie dans le cadre d'un deuil, elle sera appréciée car elle est réputée aider à la guérison émotionnelle. Le Lapis-Lazuli favorise le laisser-aller en protégeant des pensées négatives et en apportant la paix intérieure. Cette pierre fine permet également de stabiliser l'esprit, et de vivre en harmonie avec soi-même.

• HE : Mélèze : Arbre symbole d’élévation des âmes des défunts.
• Bergamote : Ouverture du cœur et apaisement du plexus solaire.
• Résine d’encens Opopanax :
• Ouverture de la conscience  vers les plus hautes sphères.

 

Une bougie particulière créée pour accompagner certaines périodes  de vie difficiles, retrouvé de la paix dans la douleur et  la résilience.

Egalement créée dans l’intention d’accompagner les personnes qui perdent un proche, les accompagner  par la flamme de cette bougie à trouver du réconfort, apaiser la souffrance et faire le cheminement de deuils ;
Elle accompagne également le défunt dans sa phase de voyage vers le monde spirituel , avec douceur et amour.

Le mot « deuil » signifie « douleur » en ancien français. De fait, faire son deuil, c’est "traverser sa douleur". Pour autant, il ne s’agit pas d’oublier l’être disparu.

Au contraire, avec le temps, c’est se sentir capable d’en parler, de se souvenir et d’exprimer sa souffrance sans être dans un courant perpétuel de larmes.

En somme, c’est accepter son impuissance dans ce qui s’est passé et envisager l’avenir sans le défunt. Ce processus nommé "résilience" est nécessaire pour se reconstruire et reprendre le cours de sa vie.